Danse Salsa, stages ou soirées caliente, à chacun sa sauce en région paca !

Salsa : à chacun son style !

La salsa, qui se danse généralement à deux, est une danse qui respecte des pas de base et un rythme d’enchaînements rapide… C’est le salsero qui guide la salsera, sa partenaire.

La salsa se danse également seul mais aussi à plusieurs, soit en ligne «comparsa» ou «salsa suelta» ou bien à plusieurs couples «rueda de casino».

La Salsa peut se débuter dès le plus jeune âge sous conditions de s’inscrire dans un cours adapté. Plusieurs styles ou déclinaisons issues de la Salsa vous sont proposés sous forme de cours de tous niveaux, de stages de perfectionnement ou encore de voyages «Salsa». Aujourd’hui, plus qu’une culture, la Salsa est un vrai mode de vie pour certains. Pour ne pas vous tromper, prenez le temps d’assister à un premier cours, souvent offert, pour trouver l’école et le style qui vous convient le mieux.

Salsa  à chacun sa sauce !

• le cubain, « casino » à Cuba, reste le plus pratiqué en France. Ce style s’est fait naturellement sa place dans les écoles de danse en France car plus facile à aborder.

• le portoricain ou « cross body style », le plus courant dans le monde latino-américain . Sa particularité est de danser en respectant une ligne.

• le colombien, plus dynamique et presque sautillant, est essentiellement pratiqué en Amérique latine.

La Salsa comme activité physique …

Un plaisir peut en cacher un autre ! La Salsa a cette magnifique faculté d’entretenir le corps de celui ou celle qui la pratique régulièrement tout en offrant un partage d’émotions et des sensations nouvelles.
Pour la pratiquer vous devez être en forme pour enchaîner les pas sur un rythme endiablé, être souple pour aligner les figures et pour rester dans le rythme et le marquer. Vos cuisses, vos bras, votre taille, vos abdominaux et même votre dos seront sollicités sans la moindre souffrance, mais pour votre plus grand plaisir !


Un peu d’histoire

La Salsa nous vient d’un mélange épicé de diverses variantes musicales combinées à de nombreuses traditions de différents pays d’Amérique Latine mais également d’Amérique centrale.

Depuis toujours, Cuba est considéré comme le berceau de la Salsa mais pour autant les différents rythmes et figures du Venezuela, de la Colombie, de Panama, ou encore de Porto Rico donnent à cette danse envoûtante tout son parfum. Pour les connaisseurs, on reconnait très facilement les apports riches de la Guaracha, du Boléro et du Merengue. En recherchant dans ses origines, c’est au début du XXe siècle qu’apparaît le célèbre « SON », une version plus lente et plus élégante que la Rumba et qui, à l’époque, envoûte la bourgeoisie blanche locale.

Traversons ensemble le siècle de sa popularité pour nous retrouver dans les années 20. A l’aube des années folles, la Salsa désignait déjà une danse chaude d’origine cubaine offrant un style lent propice au rapprochement sensuel des danseurs par des figures tout en symbolique et en effleurements…

Dans les années 40, la Salsa accélère son rythme et évolue avec les communautés latino-américaines de New York qui se l’accaparent et la modernisent.

Portée par l’explosion musicale des années 70, ça y est, c’est l’immense succès sur l’ensemble de la planète. L’engouement qu’elle offre à un public de plus en plus large la propulse en tête des danses de couple latino-américaine.

Aujourd’hui, la Salsa est devenue l’une des références de la danse de couple et de la fête. Dès les premières notes, les corps se trémoussent, les sens se réveillent, la température monte en même temps que le rythme pour transformer, comme par magie, n’importe quel lieu en temple de la fête et de la danse. Vous pouvez poser vos premiers pas ou vous perfectionner dans de nombreux lieux, clubs ou « café salsa » de la région, même certaines salles de sports organisent des stages ou ont leur propre cours. Tous les styles déclinés de la Salsa vous sont proposés, au travers de cours collectifs ou individuels, pour découvrir cette danse rythmée et sensuelle.

Futsal, Foot à 5 ou football en salle en région PACA

Futsal: les règles du jeu

Le terrain ou surface de jeu :

D’une longueur minimum de 25m X 15m de largeur, les matches internationaux sont joués sur un terrain de 38m sans excéder 42 mètres X 18 mètres sans excéder 25 mètres.

Le ballon :

Il est en cuir ou dans une matière adaptée au futsal. Sa taille est plus petite (size 4) que celle du football (size 5). La pression est similaire entre 400-600 g/cm2.

Les joueurs :

Les matchs se jouent entre deux équipes de 4 joueurs et d’un gardien de but. Les règles prévoient qu’une équipe puisse aligner jusqu’à sept remplaçants sur le banc de touche. Le jeu reste très vif car les changements durant le match sont illimités ! Un joueur peut rentrer et sortir à n’importe quel moment du jeu.

Les temps de jeu :

Le match se dispute en 2 mi-temps de 20 minutes chacune. Les équipes bénéficient d’une minute de temps mort non cumulable, dans chacune des 2 périodes.

Arbitrage :

Quatre arbitres se partagent l’encadrement d’un match :
– 1 principal,
– 1 secondaire,
– 1 assistant dont la fonction principale est de comptabiliser les fautes,
– 1 chronométreur qui veille au respect des règles de temps.

Ce qu’il faut savoir :

Les rentrées de touche latérale et de coin s’effectuent au pied (règles FIFA) / à la main (règles AMF). Le tacle glissé est interdit (règles AMF). Les joueurs ont 4 secondes (règles FIFA) / 5 secondes (règles AMF) pour remettre le ballon en jeu dans les cas suivants: relance du gardien, coup-franc, remise en touche ou corner. Le placement dans le jeu est libre car il n’y a pas de hors jeu en futsal.


Le Futsal en pratique

Maîtriser le ballon collectivement pour le mettre au fond du filet adversaire est, comme dans tout jeu de ballon, l’objectif. Par contre, la technique de la balle au pied s’opère avec la semelle pour avoir un maximum d’emprise sur le ballon. Cette technique permet d’éviter efficacement l’interception par l’adversaire mais également de favoriser la rapidité du jeu.

Justement ! la rapidité du jeu est impressionnante car les joueurs sont très souvent sollicités par les changements illimités durant le match. Ses règles particulières ainsi que la taille « réduite » de son terrain font du futsal un jeu à « buts » ! C’est le déplacement continu des joueurs pour garder la maîtrise du terrain et donc du jeu, qui donne cette sensation de rapidité et de fluidité.

Pour le pratiquer, un entraînement « cardio-training » prépare aux accélérations et aux courses fragmentées continues. Idéalement, c’est un sport qui nécessite une visite médicale pour s’assurer que votre corps encaissera sans souci les efforts cardiaques auxquels vous allez le soumettre.

C’est un sport de compétition à part entière, pour autant il s’offre à un public bien plus large dans son mode loisir. Petits et grands, filles et garçons peuvent le pratiquer pour retrouver ou découvrir toutes les qualités d’un sport collectif.


Un peu d’histoire …

L’histoire du futsal remonte à 1930, la même année que la première coupe du monde de football ! Peut-être un signe ?! le futsal naît de la volonté de pouvoir jouer au football aussi bien à l’intérieur qu’à l’extérieur et même sur un terrain de basket.

Cette nouvelle façon de pratiquer le football est, très rapidement et sans surprise, adoptée par tout le continent Sud-américain et se sont les brésiliens qui vont en fixer les premières règles en 1958. Il faudra attendre 1982 pour que soit organisé le premier championnat du monde à São Paulo.

Rapidement la FIFA organise ses propres compétitions, développe ses propres règles et, en 1989 à Rotterdam, organise son premier championnat de football en salle.

En France, le futsal est apparu en 1978, dans la région PACA, grâce à M. Amador Lopez, précurseur du développement du futsal français.

Cyclisme de loisir ou de compétition, du deux roues pour tous les goûts en région PACA

Les différentes pratiques sur route ou piste

Le cyclotourisme

C’est la sortie no-stress par définition ! Cette pratique se présente sous de multiples formes qui vont de la promenade, à la sortie familiale « à chacun son rythme », pour aller jusqu’aux premières rencontres cyclo « officelles » sur toute sorte de parcours de différentes distances. En France le cyclotourisme est organisé au sein de la Fédération Française de Cyclotourisme (FFCT).

Le cyclosport

Les épreuves cyclosportives sont à mi chemin entre le cyclotourisme et la compétition cycliste et trouve leur identité dans des épreuves ouvertes aux cyclistes licenciés ou pas qui viennent chercher une ambiance de course dans la convivialité. Les organisateurs proposent des dossards, un classement général et un par catégorie ainsi qu’un chronométrage officiel. La cyclosportive attire beaucoup de participants à l’image des classiques « bosses du 13 » qui aligne chaque année près de 4000 cyclistes au départ de la Gineste. La plus ancienne étant la Marmotte créée en 1982 dans les Alpes, et qui attire plus de 8 000 participants.

Le cyclisme sur route

Pratiqué essentiellement en club, c’est la grande école du cyclisme. Sport d’équipe mais avec la particularité d’un classement individuel, le cyclisme de route est la star du deux roues et oui, « la petite reine » n’a rien perdu de sa grâce bien au contraire. La discipline comprend plusieurs types d’épreuves très médiatiques :

– la « course à étapes », dont les tours nationaux (Tour de France)
– la course « classique », course en ligne d’un jour (Paris-Roubaix)
– la course « contre la montre », (Grand prix des Nations)
– la course « contre la montre par équipe », (Pro-Tour)

C’est un sport exigeant et très formateur qui demande une grande motivation de celui qui le pratique. Un examen médical complet est nécessaire et le passage par un club obligatoire si l’on souhaite aborder la compétition par sa filière officielle.

Le cyclisme sur piste

très impressionnantes et médiatisées pendant les JO et les Championnat du Monde de cyclisme, les épreuves de cyclisme sur piste se pratiquent sur des vélodromes généralement de forme ovale. la piste est en bitume en extérieur et en bois pour l’intérieur. Les épreuves sont individuelles ou par équipes, les courses les plus connues sont la vitesse, la poursuite et le kilomètre.

C’est le temple de la vitesse avec du matériel testé en soufflerie !


Pour sortir des « sentiers battus » !

Le VTT ou vélo tout terrain

Cette discipline est la plus récente du cyclisme sportif. Le Vélo tout terrain (ou Mountain Bike) a été inventé aux États-Unis au début des années 70. Il arrive rapidement en France quelques années plus tard. Il est aujourd’hui avec le VTC (vélo tout chemin) le modèle le plus vendu en France.

Dans sa pratique sportive, il existe plusieurs disciplines au sein du VTT qui demandent adresse et habilité avant de se lancer à l’ascension d’un DFCI. Du crosscountry qui avale les kilomètres de pistes et reliefs en tout genre jusqu’au free ride qui vous aspire vers la pente des plus beaux sommets pour une descente infernale, le VTT vous transporte en pleine nature pour le grand bol d’air sportif. Attention, mieux vaut partir en connaissant ses capacités sur tout terrain plutôt que de les découvrir en route.

Le Cyclocross

Le cyclocross est une spécialité hivernale, qui se court en circuit à reliefs. La course dure une heure environ, sur un revêtement souvent mixte (asphalte et terre).

A l’image d’une course de motocross mais à la dimension cycliste, cette épreuve est très vive et spectaculaire car elle offre quelques sauts et accélérations sur des distances très courtes.  

Le Bicross / BMX

Le BMX se reconnait tout de suite par sa petite taille avec ses roues de 20″. C’est en fait un vélo très nerveux d’une maniabilité sans égale pour réaliser bientôt « sans limites » des prouesses accrobatiques !

Grâce à des vélos toujours plus évolués et la découverte de virtuoses du guidon plusieurs disciplines sont nées comme le race, le dirt, le flat, la rampe ou le street qui sont généralement pratiqués en milieu urbain.

Le vélo trial

Le trial est l’un des sports où la notion de vitesse n’intervient pas, seul un temps limite est imposé. D’ailleurs, le vélo de trial n’offre pas de selle à son pilote, tout est dans le franchissement.

Les compétitions de trial à vélo se déroulent en extérieur ou même en intérieur. Les concurrents, chacun à leur tour, essayent de franchir les obstacles tels que rochers, talus, racines, etc, en posant le moins possible de pieds à terre. Tous les pilotes évoluent successivement dans les mêmes parcours appelés zones.

Le cyclisme artistique

Original, voici un sport en salle consistant à faire des figures sur un vélo. Il fait partie intégrante des épreuves reconnues par l’UCI.

Il existe plusieurs spécialité : l’individuel, le duo (filles, garçons et mixte) et le quadrille (à 4). La Fédération Française de Cyclisme intègre le cyclisme artistique au sein de ses différentes pratiques.


Cyclisme handisport

C’est principalement le handicap qui va définir les possibilité de pratiquer ou pas le cyclisme en version handi. Un matériel spécialement adapté et conçu pour la pratique du cyclisme est apparu dans les années 1960, le tandem pratiqué par les déficients visuels dans les années 1970 et enfin le handbike pour les personnes en fauteuil roulant des années 1990

Les déficients visuels roulent sur des tandems et les handicapés physiques sur des vélos peu modifiés. Les vélos de handbike sont destinés aux personnes en fauteuil roulant. Ils possèdent trois roues et sont tractés par la roue avant à l’aide d’un système utilisant l’énergie des bras.

Le cyclisme handisport respecte les règles établies par l’Union cycliste internationale, qu’il adapte vis-à-vis des types de handicaps. Le cyclisme de compétition comprend deux disciplines : le cyclisme sur route et le cyclisme sur piste. Le cyclisme sur route est pratiqué en extérieur et le cyclisme sur piste dans un vélodrome.

Mais le cyclisme est aussi un moyen de déplacement et un sport de loisir qui permet de faire des randonnées ou du VTT.

Stages de pilotages sportifs en monoplace, formule 1 ou GT sportives sur les plus beaux circuits du PACA

Un stage de pilotage c’est quoi ?

C’est avant tout un grand moment de plaisir pour celui qui va y participer à la seule condition d’être naturellement attiré par la sensation de vitesse que peut vous procurer un bolide (jusqu’à 800 cv pour les F1 !) sur un circuit prévu à cet effet.

Oui car tous les stages proposés se déroulent sur des circuits sécurisés avec un encadrement à la hauteur de la prestation choisie. Monoplaces ou GT les règles de rigueur imposées par le staff accompagnant sont plus rassurantes que frustrantes !

Deux manières d’aborder la chose: le stage, c’est vous qui êtes au volant ou le baptême, vous vous laissez guider par un professionnel.

Le stage:

il est variable en nombre de tours de circuit et progressif en fonction de la formule et bien évidemment de la voiture choisie. On ne prend pas le volant d’une formule 1 ou d’une Ferrari GT après avoir garé sagement en épi sa berline familiale !

Vous serez donc convié en ouverture du stage à un brief pour comprendre les phénomènes physiques qui s’appliquent à la technique de pilotage sur circuit. L’objectif est clair: retirer de ce moment unique un sentiment de plaisir assouvi et accessoirement ramener le bolide (entier) aux stands !

Vous serez ensuite équipé de la tête au pieds de la tenue de circonstance avant de partir en reconnaissance du circuit, accompagné de votre moniteur. La reconnaissance est très importante car en plus des quelques centaines de chevaux prêts à être lâchés sur l’asphalte en enfonçant simplement la pédale de droite, vous aurez à anticiper le relief et les courbes du circuit qui défilent très vite, voir très très vite !

Enfoncé dans le baquet, solidement sanglé, les tours vont ensuite s’enchainer par séries pour vous permettre d’améliorer votre coup de volant au fil des tours et pourquoi pas d’aller chercher votre premier chrono… là c’est gagné !

Le baptême en passager:

Comme pour le stage de pilotage c’est vous qui allez choisir la voiture, le circuit et le nombre de tours de votre baptême. Une différence tout de même: vous êtes le passager privilégié d’une leçon de pilotage en mode « course ».

Imaginez simplement le décor: au volant, un pilote professionnel – sous le capot, de 400 à 700 cv – au milieu, vous ! Si une grande partie des baptêmes sont proposés dans des GT sportives impressionnantes de répondant, pour les gros cœurs, il existe le baptême en F1 biplace !

Très grosses montées d’adrénaline garanties !


Quel stage choisir ?

– Monoplace ?

Vous avez déjà piloté un kart 2 temps sur circuit extérieur ? très bien, vous connaissez donc les bases du pilotage et la fameuse trajectoire que l’on ne quitte pas des yeux. Les glissades en courbes ne vous impressionnent plus et vous savez « tapez » dans les freins finement ? Passons au stade supérieur.

Les monoplaces de type « Formule Renault » vous satisferont pour passer ce cap. Vous allez retrouver une sensation de maîtrise assez rapide car ces voitures restent faciles à piloter et leur puissance adaptée à votre niveau est déjà généreuse. Les sensations sont réelles et la vitesse toujours présente.

A un niveau supérieur, la monoplace de type F3 augmente la sensation de pilotage car vous êtes au volant d’une vraie machine de compétition. Vous vous sentez aux portes de la F1 et rêvez de sensations plus fortes…

Entrez dans le temple de la vitesse au volant d’une vraie formule 1 issue du championnat du Monde de la FIA. Oui, au volant de celle que vous regardiez tourner le dimanche entre les mains de Alesi par exemple ! Le stage se transforme en rêve, vous vivez des sensations inoubliables au volant d’une F1 de 800 cv ! Entre accélérations fulgurantes et freinages puissants vous changez de Monde, mieux, vous ne saviez pas que ça pouvait exister !

– GT Tourisme ?

AUDI R8, FERRARI F430, LAMBORGHINI GALLARDO, PORSCHE GT3 ou CAYMAN, SUBARU… ces noms vous évoquent puissance et plaisir ? elles vous attendent pour le grand tour !

Les voitures sportives les plus abouties et les plus belles au Monde, vous ouvrent leur intérieur en cuir cousu main, vous offrent les technologies d’assistance ou pas au pilotage les plus sophistiquées du moment, et enfin vous apportent sur un plateau des moteurs d’une puissance extraordinaire pour des voitures de séries. Les sensations de pilotage sont fortes et rapidement la sensation de dompter la bête est là.

Une réalité: vous aurez beaucoup de mal à repartir avec votre berline familiale !

Bowling de loisir ou de compétition, l’école du strike et du spare en Provence Alpes Côte d’Azur

Une piste et des règles…

La piste, les quilles et la boule:

La piste mesure officiellement 1,06 mètres de large pour 18,21 mètres de long. L’allée est bordée de deux  gouttières ou rigoles. La piste « brillante » est huilée sur les premiers trois quarts de longueur, et le quart restant est parfois laissé sec pour gagner des effets sur la boule avant de toucher les quilles. L’objectif est bien de déquiller la piste ! c’est à dire enlever le maximum de quilles en deux coups consécutifs.

Si la boule quitte la piste et tombe dans une rigole, elle est recueillie par les dalots et renvoyée au quilleur par un système automatique ; dans ce cas, aucun point n’est marqué.

La zone d’élan, séparée de la piste par la « ligne de faute », mesure 4,87 mètres. Elle permet au quilleur de s’élancer pour faire de tout son corps un balancier qui va doser l’effet de rotation et la vitesse de la boule.

Les 10 quilles situées en bout de piste et qui attendent le coup fatal, sont rangées en une forme triangulaire sur la piste. Elles mesurent 38,1 cm de hauteur pour une masse d’environ 1,50 kg.

Les boules ont des masses différentes entre 6 et 16 livres (2,7 et 7,2 kg). Elles s’adaptent quasiment à toutes les tailles de mains grâce à trois trous dans lesquels vous allez glisser vos doigts pour poser la boule dans la main.

Une partie de bowling compte dix frames (tours). Chaque joueur lance deux boules à chaque tour, sauf en cas de strike (faire tomber les 10 quilles sur un seul coup !). Le spare, consiste à faire tomber les dix quilles avec les deux tirs consécutifs du carreau.

Les chaussures :

Le bowling se pratique obligatoirement avec des chaussures spéciales facilitant aussi bien le glissement pour l’élan, que le freinage qui termine la course d’élan. Vous trouverez dans tous les bowling une location de chaussures de bowling.

 


Un peu d’histoire …

Beaucoup de spécialistes en la matière s’accordent à dire que le début du bowling remonte à environ 3200 ans avant J.C. En 1930, un égyptologue britannique, a découvert en Égypte dans une tombe 3 pierres rondes et 9 quilles coniques taillées dans la pierre. C’est le plus ancien jeu de quilles découvert à ce jour.

Ce jeu a traversé les siècles et les pays, laissant quelques traces notamment dans les registres des paroisses des clergés allemands et hollandais aux 13ème et 14ème siècles. Un historien allemand affirme même qu’une forme de bowling débuta dans l’Allemagne aux environs du quatrième siècle !

Le mot  » bowling « , de l’anglais « to bowl » c’est-à-dire « rouler » est apparu pour la première fois en 1611 dans les archives de la ville de Jamestown en Virginie. Le bowling, un sport universel !

En France, les premières pistes de bowling apparaissent au moment de la première guerre mondiale, notamment dans les casernes américaines et quelques pistes privées sont très fréquentées sur les Champs Elysées. Le premier centre privé important fut inauguré à Biarritz en 1961, puis vint le fameux bowling du bois de Boulogne à Paris à la fin de la même année.

Depuis la fin des années 80, apparaît la seconde grande évolution de l’histoire du bowling : l’informatique ! Désormais, le bowling s’ouvre à un public plus large, plus besoin de compter les points, l’ordinateur s’en charge. Les scores sont visibles par tous sur des écrans situés au dessus de chaque piste ce qui ajoute de la convivialité aux soirées.

Aujourd’hui, ce loisir sportif a su s’adapter pour permettre aux plus jeunes de rejoindre la piste avec une fierté peu cachée ! en cherchant un peu, vous trouverez facilement des pistes plus courtes adaptées aux plus petits ou encore des pistes équipées de barrières pour empêcher la boule de quitter la piste pour tomber dans une rigole.

Bon, en piste !